Black Power : l'avènement de la pop culture noire américaine

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En 1966, un étudiant africain américain de 25 ans, Stokcly Carmichael, utilise pour la première fois le terme de « black power », qui ne peut se réduire au seul prisme politique. Le Black Pincer c'est toute une culture, vaste, à part entière. Elle s'exprime sous différentes formes, dans la littérature, via des figures comme James Baldwin ou Maya Angelou, les arts plastiques, de Kerry James Marshall à Jamel Shabazz, sur petit et grand écran, grâce notamment à la Blasploitation ou Spike Lee, ainsi que dans la musique, vecteur crucial. De Sam Cooke, qui annonce en 1964 A Change Is Gonna Come à Aretha Franklin, qui réclame le Respect, N.W.A qui lance Fuck tha Police... la soul, le jazz, le hip-hop, la bouse ou encore le funk ont permis de porter les voix des Noirs américains dans des contextes tendus si ce n'est discriminatoires. En témoignent le refus de Muhammad AU de partir au Vietnam, le poing levé de Tommie Smith aux J.O. de Mexico, 1968 ; en témoigne aujourd'hui la vague de protestations suscitée par le meurtre de George Floyd.

Suivant un fil chronologique, se partageant entre étals des lieux socioculturels, chroniques de disques, films, livres et oeuvres d'art(s) incontournables, portraits ou courts récits d'événements légendaires, Black Power propose un panorama « pop culture » sur plus de cinquante années, des fifties à nos jours, du Mississippi Goddam ! de Nina Simone au Black Lives Matter d'aujourd'hui.

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